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Recrutement à l'international
LE CHOC CULTUREL
À son arrivée au Québec, la personne immigrante pourrait vivre un choc culturel lié aux changements d’environnement, tant sur le plan professionnel que personnel. Cela peut se traduire par de l’anxiété, une perte de confiance ou un sentiment d’instabilité.
Pour la personne immigrante, le choc culturel se traduit souvent par une succession d’étapes à franchir durant cette période de transition connue sous le nom de courbe d’adaptation interculturelle ou théorie de la courbe en U.
La théorie de la courbe en U est une succession de quatre étapes formant une courbe d’ajustement qui confronte le degré d’adaptation de la personne immigrante au temps passé par cette dernière dans le pays d’accueil. Le « choc culturel » est en fait une expérience transitionnelle.
L’accueil
Au-delà de vos obligations légales, vous devez vous assurer que le milieu de travail et la société d’accueil sont prêts à faciliter l’inclusion des personnes immigrantes. Les gestionnaires comme le reste de l’équipe doivent se sentir concernés. Ils ou elles doivent être formé·e·s à la communication culturelle et comprendre les différentes phases généralement vécues par les personnes immigrantes.
En dehors des temps de travail, les personnes immigrantes auront aussi besoin de socialiser ainsi que d’avoir des activités sportives, culturelles, etc.
Inclusion réussie
Il est important de considérer que les facteurs d’une inclusion réussie tant pour les entreprises pour les personnes immigrantes sont souvent plus en lien avec des aspects sociaux que l’exercice même du métier.
Tout au long du processus d’inclusion, il est important de garder à l’esprit que le maintien en emploi est la conjugaison de la réussite professionnelle et du bien-être au travail.
Pour le maintien au Québec, il faut y ajouter l’inclusion sociale.
Pour la personne immigrante, le choc culturel se traduit souvent par une succession d’étapes à franchir durant cette période de transition connue sous le nom de courbe d’adaptation interculturelle ou théorie de la courbe en U.
La théorie de la courbe en U est une succession de quatre étapes formant une courbe d’ajustement qui confronte le degré d’adaptation de la personne immigrante au temps passé par cette dernière dans le pays d’accueil. Le « choc culturel » est en fait une expérience transitionnelle.
Source : Théorie de la courbe en U, J.S. Black et M.E. Mendenhall, 1991.
L’accueil
Au-delà de vos obligations légales, vous devez vous assurer que le milieu de travail et la société d’accueil sont prêts à faciliter l’inclusion des personnes immigrantes. Les gestionnaires comme le reste de l’équipe doivent se sentir concernés. Ils ou elles doivent être formé·e·s à la communication culturelle et comprendre les différentes phases généralement vécues par les personnes immigrantes.
En dehors des temps de travail, les personnes immigrantes auront aussi besoin de socialiser ainsi que d’avoir des activités sportives, culturelles, etc.
Inclusion réussie
Il est important de considérer que les facteurs d’une inclusion réussie tant pour les entreprises pour les personnes immigrantes sont souvent plus en lien avec des aspects sociaux que l’exercice même du métier.
Tout au long du processus d’inclusion, il est important de garder à l’esprit que le maintien en emploi est la conjugaison de la réussite professionnelle et du bien-être au travail.
Pour le maintien au Québec, il faut y ajouter l’inclusion sociale.
Bon à savoir
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Il faut viser plus l’inclusion que l’intégration et surtout éviter l’exclusion et la ségrégation:
- L’inclusion vise à intégrer des personnes dans un groupe au même titre que les autres
- L’intégration vise à faire entrer des personnes dans un groupe, sans toutefois les considérer au même titre que les autres
- L’exclusion vise à exclure une personne d’un groupe
- La ségrégation vise à séparer les personnes d’un groupe et à les placer en marge des autres personnes, en raison de leur groupe ethnique, par exemple
Il est pertinent de désigner unepersonne référentepour améliorer l’expérience d’intégration des personnes immigrantes.
Intégration versus inclusion, deux approches très différentes.
Source : Service d'éducation et d'intégration interculturelle de Montréal (SEIIM)